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Bonjour à tous,
Suite des épisodes :
- Episode 1 : mon organisation en nutrition
- Episode 2 : une journée d'entraînement type
- Episode 3 : Prise de masse, des kilos à outrance ?
- Episode 4 : patience & progression
Je vais vous parler cette fois-ci des endroits du corps où aime se loger particulièrement le gras.
Chez une majorité d'hommes, le gras va se localiser en priorité au niveau (répartition de type androïde) :
- du ventre
- de la poitrine
- des épaules & bras
Chez une majorité de femmes, ce sera plutôt localisé au niveau (répartition de type gynoïde) :
- du ventre
- des hanches
- des cuisses
- des fesses
- des seins
Bien entendu, d'un individu à l'autre, la répartition des graisses va varier, un homme pourra très bien avoir une répartition des graisses de type gynoïde, et inversement pour la femme, de type androïde.
Lorsque un individu va prendre du poids, le gras va s'installer en priorité sur les zones les moins sollicités musculairement. Ainsi, si quelqu'un ne travaille jamais (ou très peu) ses abdominaux, il est sûr de chopper très rapidement une panse d'ours.
Chez un sédentaire, prenons le cas des bras : l'homme étant de nature plus manuel qu'une femme, et ayant un taux de testostérone plus élevé (donc + de muscles), on observera rarement un homme avec des bras très gras, notamment chez un homme obèse, où ce sera surtout le ventre qui sera imposant. Dans le cas d'une femme obèse, on constatera qu'elles localisent très souvent le gras au niveau des triceps, ce muscle étant très peu sollicité dans la vie de tous les jours (le triceps servant à pousser des objets, par opposition au biceps qui lui, est là pour tirer, porter).
J'en viens donc à une conclusion concernant la perte de graisse localisée : en effet, à court terme, nous ne pouvons pas choisir de maigrir à un endroit plutôt qu'à un autre. Par contre, en sollicitant régulièrement une zone, il est tout à fait possible de garder celle-ci exempt de graisses, tout en ayant du gras ailleurs. C'est pourquoi il n'est pas rare de voir un athlète en prise de masse, relativement lourd, avec les abdominaux assez apparents : il fait l'effort de les matraquer avec autant d'intensité toute l'année, et pas qu'au régime (ce n'est pas parce qu'on ne les voit pas qu'il ne faut pas les travailler!!). Ainsi, sur plusieurs années de travail, vous pourrez espérer rester bien sec du ventre malgré quelques excès alimentaires.
Dans mon cas, j'ai constaté que mes avant-bras étaient toujours relativement sec, que je sois en prise de masse ou non, car ils interviennent sur énormément de mouvement, dans beaucoup de sport (escalade, vélo, sport de combat, etc), le gras ne pouvant donc que difficilement s'y installer.
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Cool l'article
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Sympa l'article !
Je savais pas que le fait de solliciter souvent certains groupes musculaires participait à empecher/ralentir l'accumulation de gras sur cette zone, on en apprend décidément tous les jours sur ce forum
Impressionnant les veines sur les avant-bras aussi
Go Hard or Go Home !
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J'insiste bien sur le fait que cela marche sur le long terme uniquement (plusieurs années) D'où l'intérêt de ne négliger le travail d'AUCUN muscle, toute l'année, que ce soit les jambes, les abdominaux, ou nimporte quel muscle que certains n'aiment pas travailler.
D'ailleurs, on voit clairement la différence en prise de masse sur un débutant (moins de 2 ans d'entraînement) et une personne expérimentée (4 ans d'entraînement et +) : le débutant qui va prendre 10 kilos va rapidement engraisser, chopper du bide. La personne expérimentée aura les graisses qui vont se répartir "harmonieusement", et aura l'apparence d'être toujours sec aux yeux des autres (abdominaux toujours un peu visible, veines apparentes, etc). Par contre, je connais certaines personnes expérimentées qui ont le malheur de travailler les abdominaux par période seulement, bah, ils n'échappent pas au gros bide à la moindre prise de poids
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En période dites de sèche , la zone ou le gras s'en va vraiment au dernier moment , c'est bien le ventre ! Pour ma part j'étais en sèche au bout de deux mois , et ce n'est vraiment qu'à la fin que j'ai pu arriver à une définition correcte de ma sangle abdominale !
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